Derek Blaze

Admin Messages : 5 Date d'inscription : 21/07/2008 Age : 53

Prénom: Derek
Nom: Blaze
Age: 55
Clan: Salamandre
Famille: N/A
Avez-vous un animal de compagnie : pas pour l’instant
Classe: Mage

Magie : 100 Pts

Sort: (90pts)

Magie de transformation
-5 pts : Immitation
-15 pts : Portrait craché
-20 pts : Invisibilité

Magie Psychique
-10 pts : Télépathie
-25 pts : Téléportation

Magie de Divination
-5 pts : Détection de la magie
-10 pts : Augure

Skill de la categorie Magie ( 10 pts)
- 10 pts : Rituel

Agilité : 30 pts
10 - Crochetage
20 -Armes a Une Main

Force : 70 Pts
35 - Volonté
25 - Endurance/Robustesse
10 - Parade/Blocage

Arme et équipement = 2 Saï, un gras sac en tissus, Kimono Gris, scandales

caractère: (5 lignes min)

Se déplace toujours très lentement comme si chaque pas étais calculé pour être le plus stable possible. Son aire sévère mais fatigué ne bronche que très rarement lorsque qu’il s’exprime. Il est toujours en train de regarder à l’horizons toute au tour de lui calmement et tranquillement. Ce comportement est presque constant suggérant presque un air comportement de paranoïa ou peut être simplement le réflexe du « guet » du Prédateur

Physique: (5 lignes min)

Homme dans la 50 aines au allure asiatique, vêtu d’un kimono grisé de différentes teintes. Ses mains lorsque visible, dépasse de ses grandes manches larges, laisse paraître quelques plaies ouverte non cicatriser, ou aucun sang ne coule, permettant aux os des phalanges d’observer la lumière du jour. A sa ceinture 2 saï y sont attaché ainsi qu’un cordon de cuir se faufilant dans le tissus croisé devant son abdomen.

Histoire:

Je n’ai jamais été destiné à vivre. J’irais même jusqu’à dire que certaines croyance me vénérais en tant que Dum’bahla, soit le souvenir des morts…

Je ne suis même pas né, comment m’expliquer que je peux mourir?

Je vous raconte ce que l’on m’a raconté. En fait ce que mes frères, respectueusement appeler par ceux qui ont vu la lumière, « Ceux qui ne sont plus ». Cette Phrase qui me fait vibrer la moelle qui me restent dans le bas du dos. Cette expression qui semble diriger toute ma vie.

Ma mère a vécu dans une tribu ou la femme n’a pas de statut, outre celui de « qui porte le souffle de l’homme ». Manière imagée d’un orgasme qui enfantera la future mère.

Palgyzew, appellation de ma mère, s’était toujours intéressée à toutes les voies mystiques s’approchant de sa main. Elle avait un don qui lui venait de ses ailleux. Treizième filles de sorcière, elle voulait que les chapitres se continuent, car elle voulait, selon les journaux hiérarchiques de Tzebal-Zath, que l’histoire se termine avec moi. En naissant, je deviendrais le roi des morts étant masculin. Les sages du village, ne voulant avoir un dieu zombie dans leur rang voulurent tous faire pour empêcher cette abomination… pauvre moi!

Le problème était que toutes les vraies sorcières n’enfantaient que des filles et pour terminer le 13e chapitre, il doit y avoir avortement, oui mais pas d’un fœtus masculin. C’est comme ça que je suis mort né. Vous croyez que mes souffrances s’achèvent là!

… Cela aurait été Vraiment trop beau!

Je me retrouve donc en plein rituel Tzebal, ressentant le dernier souffle de vie de ma porteuse, lorsque qu’il lui ouvrèrent les entrailles pour m’y jeter dans la rivière des milles et une nuit.

J’y alla me reposer avec tous ce que j’avais appris instinctivement par l’entremise de la nourriture divine de ma mère.

Curieux destin, j’ai été créé par le dernier souffle de mon père et je suis arrivé dans ce monde au moment du dernier souffle de ma mère. Et oui, tout comme ma mère, mon père en avait fait de même. Il était écrit dans les tablettes de Skelos que pour terminer le 13e chapitre, la future porteuse du décadent doit sacrifier son géniteur au moment de l’acte. Mantes Religieuses, comme les insectes qui ont hérité du nom dû à leur comportement similaire. Comme vous pourrez comprendre, ce genre de parents ne fait pas de familles très nombreuses et encore moins unis… si ce n’est que dans la mort!!!

Je suis enfant unique et je voudrais vous présenter mes frères et sœurs, mais bienheureusement, ils sont déjà morts! J’ai été chanceux de les avoir, car ce sont eux qui ont fait mon éducation, en tant que fœtus décadent. Sans eux je ne serais pas prêt pour mon grand périple. Quel mystère, j’ai hâte, je suis tout mouillé. Tiens je crois que c’Est ce que mes frères appelle de l’humour …n’oublions pas que j’évolue dans la rivière des mille et une nuit !

Vous vous souvenez de la nourriture divine que ma mère me transmettait., Ce sang si riche en information sensorielle autant émotionnelle que kinesthésique, me léguant toutes ses pulsions pour la divination et la traduction de rêves ou plutôt cauchemars, ma mère ne rêvait jamais, enfin pas durant mon séjour!

La rivière des Milles et une nuit avait quelque chose de démoniaque, et c’est au-delà du monde des esprits, aux grands dams de mes frères et soeurs. Cette eau permettait de non seulement conserver les objets sans vie dans un état impeccable, mais permettant en plus l’évolution des composantes minérales, chimique et biologique… conséquence, les cadavres vieillissaient encore.

Cette rivière ne contenait sûrement au début que quelque un d’entre nous et de souvenir après souvenir, nous nous relayons pour se les raconter sans cesse. Souvenir vécus, sentiments, frustration, impression connaissance. Nous ne faisons que cela, partager. Partager jusqu’à ce que le grand jour de la mille et unième nuit s’amorce et que l’élu quitte le lit de la rivière suivant sont appel intérieur.

Certains croient que l’appel dicte ce qu’il faut faire… mais nul n’est jamais revenu pour nous raconter son expérience, alors je ne peux pas vraiment vous garantir comment ça sa passe. Cependant, ici ce que l’ont se raconte serait que la paix intérieure viendra, lorsque l’appel clôturera, par sa divine inspiration, le vol du souffle de celui qui nous a fait rendre l’âme. Mais vous savez sûrement que ce ne sont que des légendes.

Je vous raconte tous cela parce que demain c’est mon tour de terminer ma mille et unième nuit. Je devrai à mon tour me lever pour la première fois, allez vers la lumière et expérimenter tous ce pourquoi l’on m’a formé depuis tout ce temps, passer avec mes frères et sœurs. Ils me manquerons, j’en suis sûr. Mais j’ai grand espoir que je les reverrai un jour comme je vais revoir mes anciens mentors.

Qui sait, peut-être que je pourrai même serrer la main de Skelos ou de Tzebal-Zat ?

Donc on se dit à demain et ne verser pas de larme car là ou je vais, c’est pour le mieux!

Enfin c’est ce que l’on dit.

Autres:

La Voie, appellation de l’éducation collective vécu par les ‘habitants’ de la rivière des Milles et une nuits

Cette Voie m’a enseigner dans mon âme intérieure, que pour atteindre mon heure de paix et de repos éternel, je dois apprendre a exécuter différente taches dans quelle but ?… seul la Voie le sait

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